J’ai déposé ma valise sur la plage à l’horizontal. Comme si le sable avait déjà compris, il s’est enfoncé à peine comme un matelas pour laisser dormir le peu de ma vie que j’avais traîné jusqu’ici. Il lui a dit, c’est bon. Respire. Prends une pause. T’as le droit. Juste à côté, je me suis…